Présent depuis le début de l'ascension d'Emmanuel Macron vers l'Elysée, Alexandre Benalla fait partie de la garde rapprochée du président de la République. Numéro 2 de son cabinet puis "rétrogradé" au poste de chargé de mission après les événements du 1er-Mai, il a continué à participer à l'organisation des grands rendez-vous de l'Elysée.
Le député Les Républicains du Lot Aurélien Pradié a déclaré ce lundi sur BFMTV que l'Assemblée nationale attend "des éléments précis et de la vérité" de la part de Gérard Collomb. "Le porte-parole de l'Elysée a menti, Gérard Collomb a manifestement menti devant le Sénat. Devant l'Assemblée nationale, il sera sous serment et ne pourra pas mentir", a assuré Aurélien Pradié.
Depuis le début de l'affaire Benalla, jeudi, le quotidien dans l’hémicycle est fait de suspensions de séances et de rappels au règlement. Les accrochages se multiplient en séance et dans les couloirs du palais Bourbon. Une situation qui a conduit dimanche le président de l'Assemblée François de Rugy, en accord avec le gouvernement, à suspendre l'examen de la révision constitutionnelle.
L'éditorialiste de BFMTV Christophe Barbier a évoqué ce lundi matin l'audition de Gérard Collomb devant la commission des lois de l'Assemblée nationale, dans le cadre de l'affaire Benalla. "Ce n'est pas un tribunal, mais ça y ressemble quand même beaucoup", a estimé Christophe Barbier, soulignant "les risques" pour le ministre de l'Intérieur. "Il est là pour protéger Macron", a-t-il également affirmé, considérant que Gérard Collomb peut jouer sa place au gouvernement.
Le président de la République a demandé au secrétaire général de l'Elysée de travailler à une réorganisation des services et éviter de "nouveaux dysfonctionnements".
Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb est auditionné ce lundi matin à l'Assemblée nationale sur l'affaire Benalla. Un rendez-vous qui s'annonce électrique. Gérard Collomb sera également auditionné mardi par la commission des lois du Sénat.
Emmanuel Macron tente de reprendre la main en faisant passer, par son entourage, un message clair condamnant le comportement d'Alexandre Benalla et assurant qu'il n'y aura pas d'impunité. Il juge notamment les faits "inacceptables". Il demande en outre une réorganisation interne de l'Elysée et assure son soutien à Gérard Collomb.
Mis en examen pour avoir frappé des manifestants lors du mouvement du 1er-Mai à Paris, Alexandre Benalla n'en est pas à son premier coup de sang. En décembre, il s'en était pris à une équipe de BFMTV venu filmer le déplacement du président de la République dans une station de ski, les menaçant avec les poings. L'année dernière, c'est un photographe qui avait fait les frais de l'excès de zèle de la garde rapprochée d'Emmanuel Macron.
Invité de BFMTV ce dimanche, Jean-Luc Mélenchon a répondu aux accusations de la majorité, émises à son encontre après la suspension de l'examen de la révision constitutionnelle à l'Assemblée nationale ce dimanche.
Selon son entourage, Emmanuel Macron affirme que les actes de son ancien collaborateur Alexandre Benalla, mis en examen ce dimanche, sont "inacceptables".
Le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, se retrouve depuis le dévoilement de l'affaire Benalla sous le feu des critiques, et pourrait ressortir fortement affaibli de cette crise politique.
L'opposition continue de se faire entendre. Le fondateur de Générations accuse Emmanuel Macron de couvrir Alexandre Benalla et réclame la démission du ministre de l'Intérieur dans les "plus brefs délais".
Du côté de la place Beauvau, on prépare la défense du ministre de l'Intérieur qui va devoir faire face lundi matin à toute une série de questions de la part des députés sur l'affaire Benalla.
Le jeune "Monsieur sécurité" d'Emmanuel Macron travaillait à une fusion des différents services de sécurité qui assurent la protection du chef de l'État. Un projet qui n'aurait pas été bien accueilli par tout le monde, notamment par l'Intérieur.
Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Alexandre Benalla travaillait activement à une fusion des différents services qui s'occupent de la sécurité du Président: gendarmes et policiers, à l'intérieur et à l'extérieur du Palais. Il avait notamment identifié des incohérences dans les moyens de communication utilisés par ces agents qui ne pouvaient pas tous communiquer entre eux à cause de matériels différents. Son idée, approuvée par le Président, était de rendre plus efficace cette protection en harmonisant les méthodes des différents services. Ce projet, bien avancé, avait fait l'objet de plusieurs réunions de haut rang au Palais. Les premières annonces étaient prévues en septembre.
L'affaire Benalla commence à tourner au scandale. A la veille de l'audition de Gérard Collomb par la Comission des lois, l'opposition maintient une pression très forte sur le gouvernement. Cette affaire judiciaire devient une crise politique. Depuis quatre jours l'Assemblée nationale est pratiquement paralysée. Le gouvernement a décidé de suspendre l'examen de la révision constitutionnelle jusqu'à nouvel ordre. Alexandre Benalla est un adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police.
L'affaire Benalla paralyse les débats à l'Assemblée nationale depuis jeudi.
Cette affaire judiciaire devient une crise politique. Depuis quatre jours l'Assemblée nationale est pratiquement paralysée. Gabriel Attal, député LaREM des Hauts-de-Seine et porte-parole d'En Marche, s'exprime sur le bras de fer qui se déroule dans l'hémicycle entre la majorité présidentielle et l'opposition.
L'élue de la majorité évoque "une affaire grave" et se dit "abasourdie".
Dans le cadre de l'enquête ouverte par le Parquet de Paris sur les violences du 1er-Mai, cinq personnes avaient été placées en garde à vue. Les gardes à vue ont toutes été levées samedi dans la soirée. Qui sont ces personnes, que leur reproche-t-on ?
L'affaire fait la une de la presse française, depuis que la vidéo d'Alexandre Benalla a été diffusée par le journal Le Monde. Et à l'étranger, le scandale attire également l'attention des médias. Alexandre Benalla est un adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police.
Des voix à l'intérieur de la majorité présidentielle commencent à l'élever. Sonia Krimi, députée LaREM de la Manche affirme qu'il faut avoir le courage de se justifier" et que "l'affaire est grave". L'affaire Benalla commence à tourner au scandale. Alexandre Benalla est un adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police. Vendredi, l’Élysée a annoncé qu’il licenciait son collaborateur. Sa garde à vue a été levée ce dimanche matin et il devrait être présenté à un juge d'instruction.
A la veille de l'audition de Gérard Collomb par la Comission des lois , l'opposition maintient une pression très forte sur le gouvernement. L'affaire Benalla commence à tourner au scandale. Alexandre Benalla est un adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police. Vendredi, l’Élysée a annoncé qu’il licenciait son collaborateur. Sa garde à vue a été levée ce dimanche matin et il devrait être présenté à un juge d'instruction.
Ugo Bernalicis a confié ce samedi au JDD qu'il était prêt à convoquer Brigitte Macron devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, dans l'espoir que le chef de l'Etat ne s'exprime enfin sur l'affaire Benalla.
Marine Le Pen a estimé ce samedi qu'Alexandre Benalla, le proche collaborateur d'Emmanuel Macron, avait été "protégé par sa hiérarchie", fustigeant le mutisme dans lequel s'est enfermé le chef de l'Etat depuis mercredi.
Marine Le Pen a estimé ce samedi soir sur BFMTV qu'Alexandre Benalla avait été "protégé par sa hiérarchie", fustigeant le silence d'Emmanuel Macron depuis que l'un de ses proches collaborateurs a été filmé en train de frapper des manifestants le 1er mai.
Marine Le Pen et Christophe Castaner se sont vivement accrochés ce samedi dans les couloirs de l'Assemblée nationale, celle-ci reprochant au secrétaire d'Etat son absence dans l'hémicycle en pleine affaire Benalla.
Une vive altercation entre Marine Le Pen et Christophe Castaner a éclaté ce samedi soir dans les couloirs de l'Assemblée, où la présidente du FN a interpellé le secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement notamment pour son absence dans l'hémicycle, sous fond de tensions autour de l’affaire Benalla. Une séquence captée en intégralité par les caméras de BFMTV.
Marine Le Pen et Christophe Castaner se sont vivement accrochés ce samedi après-midi dans la salle des Quatre Colonnes de l'Assemblée nationale. Marine Le Pen reprochait notamment au délégué général de LaREM de ne pas s'expliquer sur l'affaire Benalla dans l'Hémicycle.
L'étau se resserre autour du président de la République, resté muet depuis le début de l'affaire Benalla mercredi. Une stratégie incompréhensible pour l'opposition alors que l'affaire ne cesse de prendre de l'ampleur.
L'affaire Benalla commence à tourner au scandale. Alexandre Benalla est un adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police. Hier, l’Élysée a annoncé qu’il licenciait son collaborateur. Il est toujours entendu ce samedi matin dans les locaux de la police judiciaire. Son domicile a été placé sous scellés. Les trois policiers suspendus ont été placés en garde à vue.
L’Elysée a-t-elle menti en affirmant qu’Alexandre Benalla était cantonné à des tâches internes depuis sa mise à pied ? C’est en tout cas ce que suggèrent de nouvelles photos publiées par les quotidiens Paris-Normandie et Libération. Sur ces images compromettantes, on voit Alexandre Benalla aux côtés du président lors d’au moins quatre occasions majeures comme le défilé du 14 juillet et le retour des Bleus en France lundi dernier. Mais le collaborateur n’aurait pas dû être présent lors de ces évènements car il était déjà sous le coup d’une sanction.
Le député LR Marc Le Fur a fait de nouvelles révélations sur Alexandre Benalla à l'Assemblée qui ont conduit à une suspension de séance. L'ancien collaborateur de l'Elysée avait un badge d'accès à l'Assemblée classé au plus haut niveau de sécurité qui lui ouvrait les portes de l'ensemble de l’hémicycle. Adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel, Benalla a été filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police. Il est toujours entendu ce samedi matin dans les locaux de la police judiciaire.
Le député LR Marc Le Fur a fait de nouvelles révélations sur Alexandre Benalla à l'Assemblée qui ont conduit à une suspension de séance. L'ancien collaborateur de l'Elysée avait un badge d'accès à l'Assemblée classé au plus haut niveau de sécurité qui lui ouvrait les portes de l'ensemble de l’hémicycle. Adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel, Benalla a été filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police. Il est toujours entendu ce samedi matin dans les locaux de la police judiciaire.
L'examen du projet de révision constitutionnelle a été bloqué pendant deux jours et n'a repris que péniblement en fin de matinée.
Le mariage qui devait avoir lieu à Issy-les-Moulineaux a été annulé.
Alors que le chef de l'Etat reste muet, le député et chef de file de la France insoumise lui demande de "s'exprimer et d'assumer".
L'affaire Benalla commence à tourner au scandale. Alexandre Benalla est un adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police. Hier, l’Élysée a annoncé qu’il licenciait son collaborateur. Il est toujours entendu ce samedi matin dans les locaux de la police judiciaire. Marine Le Pen, explique au micro de BFMTV pourquoi elle a tardé à réagir dans cette affaire.
L'affaire Benalla commence à tourner au scandale. Alexandre Benalla est un adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police. Hier, l’Élysée a annoncé qu’il licenciait son collaborateur. Il est toujours entendu ce samedi matin dans les locaux de la police judiciaire. Marine Le Pen, président du Rassemblement National s'exprime au micro de BFMTV sur cette affaire.
L'affaire Benalla commence à tourner au scandale. Alexandre Benalla est un adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police. Hier, l’Élysée a annoncé qu’il licenciait son collaborateur. Il est toujours entendu ce samedi matin dans les locaux de la police judiciaire. De nouveaux éléments mettent à mal la version de l'Élysée. Benalla a été photographié et filmé aux côtés du Président les 13 et 14 juillet derniers.
L'Assemblée nationale est paralysée par l'affaire. Gérard Collomb sera auditionné lundi matin à 10 heures.
La révélation de l’affaire Benalla a profondément secoué l’Élysée qui s’est muré dans le silence.Alexandre Benalla est un adjoint au chef de cabinet du palais présidentiel filmé le 1er-Mai dernier en train de frapper des manifestants alors qu’il portait un casque de police. Hier, l’Élysée a annoncé qu’il licenciait son collaborateur mais cela n’apaise pas les critiques qui se font de plus en plus vives, à l’égard du gouvernement.
Le président de la République reste muré dans son silence, trois jours après les premières révélations sur son ancien chargé de sécurité, filmé en train de tabasser un manifestant le 1er mai.
Après avoir frappé des manifestants le 1er mai, Alexandre Benalla était censé avoir été réaffecté à l'organisation d'événements prenant place dans l'enceinte de l'Elysée uniquement. Des photos publiées par Libération et Paris-Normandie ont toutefois montré qu'il était aussi au côté d'Emmanuel Macron les 13 et 14 juillet derniers.
Pierre-Henri Dumont, député LR du Pas-de-Calais estime ce vendredi sur Bfmtv que "le traitement de faveur" d'Alexandre Benalla révèle une "république d’affidés".
La commission des Lois de l'Assemblée nationale, dotée des pouvoirs d'enquête parlementaire sur l'affaire Benalla, n'a pas réussi à dégager un accord sur le programme des auditions ce vendredi soir.
Gabriel Attal, député LREM des Hauts-de-Seine, souligne qu'une "sanction a été prise" dans l'affaire Benalla et que le justice doit suivre son cours.
Au deuxième jour de l'affaire Benalla, les députés de la majorité présidentielle tentent de contrer les attaques de l’opposition.
Emmanuel Macron a bien eu l'occasion d'examiner lui-même les images dans lesquelles on voit Alexandre Benalla frapper des manifestants le 1er mai et avait approuvé à l'époque que ces actes ne soient sanctionnés que par une mise à pied temporaire, selon nos informations.
Le ministre de l'Intérieur sera entendu ce mardi par le Sénat à 17h45, a indiqué la commission des lois dans un communiqué ce vendredi.
