Il avait succédé à Martine Aubry à la tête de Lille Métropole Communauté Urbaine, et aurait utilisé l'argent public pour des frais personnels comme du parfum ou des nuits à l'hôtel.
Invité de BFMTV et RMC ce lundi matin, le secrétaire d'Etat chargé du Numérique s'est exprimé sur les ambitions qu'on lui prête: être candidat à la mairie de Paris lors des prochaines municipales.
"Si on a posé, c'est pour les témoignages." Mounir Mahjoubi revient sur son entrevue dans Paris Match avec son compagnon
"Pourquoi ça ne m'intéressait pas?" Mahjoubi répond à une éventuelle candidature à la mairie de Paris
Le secrétaire d’État chargé du Numérique est l'invité de Bourdin Direct sur RMC et BFMTV.
Affaire Benalla: Mounir Mahjoubi accuse "certains journaux" d'avoir repris "de fausses informations"
Deux proches collaborateur du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb sont attendus, ainsi que le colonel responsable de la sécurité du président de la République. Deux préfets régionaux seront également questionnés.
L'actrice et productrice évoque dans Le Parisien sa relation avec l'ex-président de la République.
Pour Emmanuel Macron, c’est à la fois une semaine à risque et à la fois la dernière ligne droite avant les vacances, qui priveront l’opposition de ses deux principales tribunes en ce moment dans l’affaire Benalla: l’Assemblée et le Sénat. C’est une semaine de "vrais faux dangers", estime Christophe Barbier, éditorialiste politique de BFMTV.
Les jeunes du Rassemblement national, le parti de Marine Le Pen, étaient à Menton ce dimanche, en compagnie de membres du parti italien de la Ligue du Nord. C'était pour eux une manière d'afficher une convergence idéologique, à un an des élections européennes. "Salvini souhaite une Italie des protections, c'est ce vers quoi nous souhaitons converger en France", a déclaré le porte-parole du RN Jordan Bardella.
Benoît Hamon réclame une réforme des institutions pour mettre fin à l'irresponsabilité constitutionnelle du président de la République.
Christian Jacob voit dans l'affaire Benalla le signe d'une "dérive monarchique" et demande à Emmanuel Macron de s'expliquer "solennellement" sur ce scandale.
Selon un sondage IFOP, la popularité d'Emmanuel Macron a atteint son niveau le plus bas depuis son élection, avec 39% d'opinion favorable. "Il n'y a pas de rupture totale avec l'opinion", décrypte l'IFOP, qui estime que le président de la République est capable d'un rebond.
Selon un sondage IFOP pour Le Journal du Dimanche, la popularité d'Emmanuel Macron est au plus depuis son élection, avec 39% d'opinion favorable. Cette baisse peut s'expliquer par l'affaire Benalla. "On a vu que la séquence Coupe du monde n'a pas apporté grand chose à Emmanuel Macron", observe le chef du pôle politique de l'IFOP Jean-Philippe Dubrulle.
Le duo à la tête de l'exécutif enregistre un recul d'un point dans le total de satisfaits, selon un sondage Ifop pour le JDD dévoilé ce dimanche. L'affaire Benalla semble n'avoir eu qu'un léger impact sur l'image du Président, même si sa popularité est au plus bas.
L'ancien Garde des Sceaux ne voit pas "d'affaire d'Etat."
"Moi, j’ai toujours eu tendance à l'ouvrir. On me l'’a fait payer" explique-t-il dans un nouvel entretien fleuve.
Une manifestation anti-Macron a eu lieu ce samedi devant le siège d'En Marche. Environ 150 personnes se sont réunies pour "venir chercher" le président de la République.
La majorité a dénoncé une "instrumentalisation politique" de l'affaire Benalla, alors que deux motions de censure ont été déposées contre le gouvernement en raison de ce scandale.
Aina Kuric, députée de la Marne, risque l'exclusion du groupe parlementaire La République en marche après avoir voté contre la loi asile-immigration.
La députée LaRem et membre de la commission des lois Laëtitia Avia a estimé ce samedi sur BFMTV que l'intervention télévisée d'Alexandre Benalla "était pertinente et importante". "C'était important pour lui qu'il puisse s'exprimer auprès des Français" a-t-elle également déclaré.
Dans un communiqué, les ministres estiment que l'incendie d'un poste électrique a révélé "une fragilité" dans l'alimentation de la gare parisienne.
Le député de la France insoumise dénonce l'opération de communication menée par Alexandre Benalla pour protéger l'Élysée.
Cette hausse est surtout visible auprès des sondés sans préférence partisane.
Alexandre Benalla s'est livré vendredi soir sur TF1 à un exercice de communication de crise très calibré avec un objectif: protéger le chef de l'Etat.
La secrétaire d'Etat à l'égalité entre femmes et hommes Marlène Schiappa a évoqué son souhait ce samedi sur BFMTV de "rapidement passer à autre chose"."Accessoirement, le gouvernement a énormément de travail, il y a du retard qui a été pris à l'Assemblée nationale sur l'agenda qui était le nôtre", a-t-elle déclaré.
La députée et porte-parole du groupe LaRem à l'Assemblée nationale Aurore Bergé a déclaré ce samedi sur BFMTV que "l'enquête pourra dire si la faute mérite une condamnation" pour Alexandre Benalla. Elle a également rappelé que "le travail de la commission d'enquête parlementaire n'est pas de mettre en accusation".
Selon elle, "seul le tribunal pourra répondre" aux faits reprochés à l'ancien employé de l'Elysée.
Le député France Insoumise Éric Coquerel estime que "le Premier ministre ne veut pas parler devant l'Assemblée" et que "la solution pour qu'il vienne, c'est la motion de censure." C'est pourquoi les trois groupes de gauche à l'Assemblée ont déposé leur motion de censure ce vendredi après-midi.
Les trois partis de gauche représentés à l'Assemblée nationale ont déposé une motion de censure commune contre le gouvernement sur l'affaire Benalla.
Première conclusion qui ressort du rapport de l’IGPN: c’est Alexandre Benalla lui-même qui aurait demandé à assister à l’opération policière du 1er mai. Censé obtenir en amont l’autorisation du préfet de police, il a affirmé à Alain Gibelin et Laurent Simonin qu’il l’avait obtenue - ce n’était en fait pas le cas.
"Le Parti socialiste est maintenant un parti d'opposition frontale au gouvernement", selon le leader La France Insoumise.
Lors du retour des Bleus en France, le 16 juillet, Alexandre Benalla était présent à Roissy. Des images le montre donner à des ordres à des policiers visiblement excédés.
La commission des Lois de l'Assemblée nationale a auditionné ce vendredi le commissaire divisionnaire Pierre Leleu, commandant d'unité de la CRS 15 de Béthune, dans le cadre de son enquête sur l'affaire Benalla.
Les députés de l'opposition qui participaient à la commission d'enquête de l'Assemblée ont boycotté la suite des auditions ce vendredi. Ils protestent contre la liste jugée trop restrictive établie par la co-rapporteure, députée de la majorité.
Le commandant Leleu, patron de la Compagnie républicaine de sécurité présente le 1er mai place de la Contrescarpe à Paris, est auditionné ce vendredi par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, boycottée par l'opposition.
Jean-Marie Le Pen n'exclut pas d'être candidat pour les élections européennes de 2019.
La présidente du Rassemblement national était l'invitée de BFMTV et RMC ce vendredi.
Marine Le Pen répond à son père: leur brouille n'a eu "aucune influence" sur l'élection présidentielle
Marine Le Pen "votera" les motions de censure contre le gouvernement "pour exprimer la défiance des Français" à l'égard d'Emmanuel Macron.
La présidente du Rassemblement national Marine Le Pen est l'invitée ce vendredi d'Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC.
Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national (ex-FN) et députée du Pas-de-Calais, était ce vendredi 27 juillet l’invité d’Apolline de Malherbe sur BFMTV.
"Immature." Pour Marine Le Pen, Emmanuel Macron agit "comme un gamin qui provoque le tigre au zoo"
"C’est la Benalla de l’Assemblée." Pour Alexis Corbière (LFI), Yaël Braun-Pivet "protège" le Président
Le texte a été adopté par 48 voix pour, 17 voix contre et 12 abstentions.
Depuis Madrid, où il était en déplacement ce jeudi, Emmanuel Macron a une nouvelle fois réagi à l'affaire Benalla. La communication du chef de l'Etat a évolué depuis les premières révélations. Après plusieurs jours de silence, il s'est exprimé mardi devant les députés de la majorité. Le président tente depuis de prendre de la distance et de minimiser l'affaire, "une tempête dans un verre d'eau" selon lui.
L'opposition tente de s'organiser face à la majorité pour faire entendre sa voix dans l'affaire Benalla. Mais elle joue par la même occasion à un jeu risqué, en donnant à LaREM et au gouvernement l'occasion de dénoncer "une convergence" à visées politiques.
Les tensions entre députés de la majorité et de l’opposition au sujet de l'affaire Benalla ont pris un nouveau tournant ce jeudi à l’Assemblée nationale. Les Insoumis, les communistes, les Républicains, les socialistes et l'UDI ont annoncé qu'ils suspendaient leur participation à la commission d'enquête. Une motion de censure contre le gouvernement a été déposée par les Républicains et sera débattue mardi. Une autre pourrait être portée par la gauche.
Selon les documents obtenus par Mediapart, plusieurs comptes Twitter soutiens de LaREM ont diffusé, jeudi 19 juillet, les images de la vidéosurveillance de la place de la Contrescarpe, avant de les effacer. Alexandre Benalla a reconnu les avoir transmises à l’Élysée peu après les révélations du Monde.
Depuis Madrid, où il était en déplacement ce jeudi, et une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, Emmanuel Macron a minimisé l'ampleur de l'affaire Benalla.
