Le Vatican rend des fragments du Parthénon à la Grèce
Les Grecs "désirent légitimement le retour des fragments chez eux, dans leur emplacement d'origine".
Les Grecs "désirent légitimement le retour des fragments chez eux, dans leur emplacement d'origine".
Des milliers de personnes sont descendues dans les rues du pays poux exprimer leur colère à la suite de l'accident qui a coûté la vie à 57 personnes le 28 février.
La collision a fait 57 morts, dont de nombreux jeunes. Depuis, des dizaines de milliers de Grecs demandent des explications au gouvernement national.
Dix jours après la collision entre deux trains, qui a fait 57 morts, la colère ne retombe pas et les mobilisations se succèdent en Grèce. Au sein des cortèges, un slogan revient fréquemment : “Appelle-moi quand tu arrives”, un message qui serait parti du témoignage de la mère d’une victime.
La colère continue de grandir en Grèce, après que 57 personnes sont mortes mardi après une collision frontale entre deux trains. Le Premier ministre grec a demandé "pardon" aux proches de victimes.
En marge d'une manifestation à la mémoire des victimes de l'accident de train en début de semaine, des heurts ont éclaté ce vendredi soir entre les protestataires et les forces de l'ordre.
Des heurts ont opposé vendredi soir les forces anti-émeutes et un petit groupe de manifestants dans le centre d'Athènes en marge d'une manifestation à la mémoire des 57 personnes tuées mardi dans la collision frontale de deux trains.
Les manifestations se multiplient en Grèce depuis la catastrophe ferroviaire qui a fait 57 victimes mardi soir. Les cheminots sont en grève, alors que de graves défaillances et la vétusté du réseau de chemins de fer sont pointées du doigt, causant l'ire de la population.
Les manifestations se multiplient en Grèce depuis la catastrophe ferroviaire qui a fait 57 victimes mardi soir. Les cheminots sont en grève, alors que de graves défaillances et la vétusté du réseau de chemins de fer sont pointées du doigt, causant l'ire de la population.
L'accident de deux trains, qui ont circulé plusieurs kilomètres sur la même voie reliant Athènes à Thessalonique avant d'entrer en collision, a coûté la vie à 57 personnes en Grèce d'après un nouveau bilan.
Le Premier ministre grec Kyriákos Mitsotákis est revenu sur l'accident de train qui s'est déroulé dans la nuit de mardi à mercredi près de Larissa.
L'accident survenu dans la nuit de mardi à mercredi a fait au moins 38 morts et 85 blessés. Un décompte qui "devrait augmenter" alors que les opérations de secours se poursuivent. Pour une raison pour l'instant inconnue, les deux trains circulaient sur la même voie "depuis plusieurs kilomètres".
L’accident s’est produit le 28 février peu avant minuit, entre un train de passagers qui effectuait le trajet entre Athènes et Thessalonique et un convoi de marchandises qui effectuait le trajet inverse. Quelque 150 pompiers et 40 ambulances ont dû être mobilisés pour tenter d’extraire les survivants de cette collision meurtrière.
Une collision entre un train de marchandises et un train transportant 300 personnes a eu lieu dans la nuit du 28 février au 1er mars. Au moins 32 personnes sont mortes et une centaine de personnes sont blessées. 150 pompiers et 40 ambulances ont été mobilisés selon les secours grecs.
Deux trains sont rentrés en collision en Grèce dans la nuit de mardi 28 février à mercredi 1er mars. Un train de marchandises et un trains transportant 300 personnes circulaient sur les mêmes rails. Les premiers wagons ont pris feu. Le premier bilan fait état de 32 morts et une centaine de blessés.
L'un des wagons du train qui a déraillé après une collision avec un autre appareil a pris feu et plusieurs personnes se sont retrouvées piégées, selon la chaîne de télévision publique grecque Ert.