Covid-19 en Chine: "Il va falloir se poser la question d'une gestion par l'OMS", estime l'infectiologue Benjamin Davido
Benjamin Davido, infectiologue à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches, était l'invité de Calvi 3D sur BFMTV ce lundi soir.
Benjamin Davido, infectiologue à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches, était l'invité de Calvi 3D sur BFMTV ce lundi soir.
Pour fuir un éventuel confinement complet de la ville de Guanghzou, dans la province de Canton, en Chine où elle vit, cette expatriée française a fui vers la Thaïlande. Installée depuis 3 ans en Chine, elle raconte son quotidien avec la peur des confinements alors que les manifestations contre la stratégie "Zéro Covid" se multiplient dans plusieurs villes du pays.
Il faut remonter à 1989 pour trouver des images semblables à celles qui nous parviennent de Chine depuis dimanche. À Shanghai, Pékin ou Wuhan, des foules de manifestants défilent en appelant à la démission de Xi Jinping et à la chute du parti communiste chinois. Une colère alimentée par la politique zéro Covid du gouvernement. La Chine reste l'un des seuls pays à encore confiner largement sa population.
Une vague de manifestations touche plusieurs villes en Chine depuis quelques jours. Les revendications des manifestants concernent principales les sévères restrictions toujours en vigueur dans le pays contre la propagation du Covid-19. Mais, régulièrement, des slogans contre le régime ont été entendus à Pékin ou Shangai.
Olena Zelenska a appelé la communauté internationale à "une réponse" face aux violences sexuelles commises par les soldats russes dans les territoires ukrainiens envahis.
Des centaines de personnes ont manifesté dimanche après-midi dans le centre de Shanghai contre la politique "zéro Covid" du gouvernement chinois.
Une vague de manifestations touche plusieurs villes en Chine depuis quelques jours. Les revendications des manifestants concernent principales les sévères restrictions toujours en vigueur dans le pays contre la propagation du Covid-19. Mais, régulièrement, des slogans contre le régime ont été entendus à Pékin ou Shangai.
Une vague de manifestations touche plusieurs villes en Chine depuis quelques jours. Les revendications des manifestants concernent principales les sévères restrictions toujours en vigueur dans le pays contre la propagation du Covid-19. Mais, régulièrement, des slogans contre le régime ont été entendus à Pékin ou Shangai.
Le Kremlin a affirmé que les forces russes qui occupent la centrale nucléaire de Zaporijia ne comptaient pas quitter les lieux. Ce démenti intervient au lendemain de déclarations contraires faites par les autorités ukrainiennes, dont le chef du réseau énergétique national.
Lova Rinel, chercheuse associée à la Fondation pour la Recherche Stratégique, était l'invitée du Dej' Info ce lundi sur BFMTV.
En Chine, les manifestants brandissent des pancartes blanches, vierges de toute inscription pour contester la politique zéro covid du régime. Cette méthode permet de contourner la censure, largement répandue et pratiquée par le régime. L'origine de ces mobilisations remontent à l'incendie d'un immeuble à Urumqi jeudi dernier. La politique zéro covid aurait ralenti l'évacuation des habitants. 10 personnes sont mortes.
Des centaines de personnes sont descendues dans les rues de différentes villes chinoises ce week-end pour demander la fin des restrictions trop strictes conte le Covid-19, mais aussi davantage de liberté.
Le journaliste de la BBC Edward Laurence couvrait à Shanghai les manifestations contre la politique sanitaire chinoise. Alors qu’il travaillait, il a été mis au sol par plusieurs policiers, avant d’être menotté et escorté hors de la manifestation. Selon la BBC, Edward Laurence a été retenu plusieurs heures avant d’être relâché. Le média britannique explique n’avoir eu aucune justification concernant le motif de l’arrestation. Les autorités chinoises se sont défendues en expliquant qu’Edward Laurence ne s’était pas identifié en tant que journaliste et n’avait pas présenté d’accréditation de presse.
Des centaines de personnes sont descendues dans les rues dimanche à Pékin, Shanghai, Wuhan et dans d'autres villes de Chine pour protester contre les confinements à outrance, une rare démonstration d'hostilité envers le régime du président Xi Jinping et sa politique de "zéro Covid" draconienne pratiquée depuis près de trois ans.
Dans un communiqué publié dimanche soir, la BBC indique qu'un de ses journalistes, Edward Lawrence, a été retenu pendant plusieurs heures par les autorités chinoises, avant d'être libéré.
Petro Kotin, président de la compagnie de production nucléaire d'Ukraine affirme, ce dimanche, que ses services reçoivent, "ces dernières semaines", "des informations sur des signes indiquant que [les Russes] se préparent peut-être à quitter la centrale".
De retour de Kherson, Dana Fedun, membre du Congrès mondial des Ukrainiens à Kiev, relate ce qu'elle a observé dans la ville fraîchement libérée du joug russe et à nouveau sous contrôle ukrainien.
Comme dans d'autres villes chinoises, des étudiants ont mené ce week-end à Pékin des actions contre la politique de lutte contre le Covid-19 menée par leur gouvernement.
À neuf mois de guerre en Ukraine, un nouvel ennemi s'invite: le froid. Et avec les coupures d'énergies causées par les bombardements russes, les soldats et les civils vivent un quotidien à rude épreuve.
Les forces russes ont été contraintes de se retirer il y a plusieurs semaines de Kherson, après huit mois d'occupation, laissant le champ libre aux soldats ukrainiens pour reprendre le contrôle de la ville. Derrière eux, les combattants du Kremlin ont laissé une population dévastée.
Depuis fin octobre, les bars, restaurants, commerces non-essentiels et lieux de loisirs sont fermés en Chine, en réponse à une nouvelle hausse des cas positifs au Covid-19.
Le mouvement de protestation contre la politique "zéro Covid" du gouvernement chinois prend de l'ampleur dans le pays. Des manifestations rares en Chine, où prévaut la censure.
Des centaines de personnes sont descendues dans les rues ce dimanche à Pékin, Shanghai et d'autres villes de Chine pour protester contre les confinements et mesures drastiques prises par le gouvernement contre le Covid-19.
Le dirigeant russe a rencontré, pour la première fois vendredi, des mères de combattants russes, alors que certaines ont interpellé le président sur le sort de leur fils. Mais ces femmes ont été soigneusement choisies.
Plusieurs centaines d'étudiants de la prestigieuse Université Tsinghua à Pékin, ainsi que des habitants de Shanghaï, et de la province de Zhengzhou, ont mené ce week-end des actions contre la politique de lutte contre le Covid-19 menée par le gouvernement chinois.
Le dirigeant nord-coréen a également déclaré que son objectif était de construire à terme l'armée la plus puissante du monde.
Ce vendredi, Vladimir Poutine a rencontré des femmes qu'il présentait comme des mères de soldats russes mobilisés en Ukraine.
La guerre en Ukraine continue avec de nouveaux bombardements russes sur Kherson et les coupures d'électricité dues aux pluies de bombes sur le territoire ukrainien.
Depuis fin octobre, les bars, restaurants, commerces non-essentiels et lieux de loisirs sont fermés en Chine.
À Kiev, 25% des habitants sont toujours privés d'électricité en continu, affirme le maire de la capitale ukrainienne.
Dans le Donbass, des civils ayant tout perdu dans les bombardements trouvent refuge dans un monastère orthodoxe.
Il y a deux semaines, l'armée ukrainienne libérait la ville de Kherson. Mais celle-ci est de nouveau endeuillée. Un nouveau bombardement russe a fait quinze morts parmi sa population vendredi soir, et six millions de foyers sont toujours affectés par des coupures de courant.
Le président chinois a écrit au dirigeant nord-coréen, alors que des tensions agitent la péninsule coréenne. Pyongyang a tiré une série record d'essais de missiles ces dernières semaines.
Hugues, un Français expatrié en Chine, a l'interdiction de quitter son quartier de Guangzhou (Canton) depuis près d'un mois en raison de la politique zéro Covid chinoise. Le trentenaire raconte à BFMTV.com son quotidien enfermé, le manque d'information, et l'incompréhension grandissante de la population à l'égard de la stratégie gouvernementale.
Un ancien soldat de l'armée russe raconte à BFMTV avoir été témoin de crimes de guerre commis par ses ex-frères d'armes dans la région de Boutcha. Il est aujourd'hui réfugié à l'étranger.
Des comptes pro-Kremlin ont largement partagé sur les réseaux sociaux des clichés satellites de l'Ukraine pris par la Nasa après que le pays a été visé par des frappes massives mercredi.
L'enquête de Nelson Getten, tous les vendredis, samedis et dimanches dans le Week-End Direct.
Le président russe est revenu sur ses objectifs militaires lors d'une rencontre avec des mères de soldats mobilisés, une première depuis le début du conflit.
La Nasa diffuse des images satellites comparatives de l'éclairage en Ukraine avant et 9 mois après le début de la guerre. Selon les autorités ukrainiennes, pas moins de 3 centrales sont à l'arrêt à la suite des bombardements russes. Le gouverneur de la région de Kiev rapporte que plus de 3 millions de personnes sont privées d'électricité dans sa région.
Quinze civils ont été tués vendredi dans un bombardement russe sur la ville de Kherson, dans le sud de l'Ukraine, a annoncé une responsable de la ville, d'où les troupes de Moscou se sont retirées récemment.
L'armée russe vise principalement les infrastructures énergétiques lorsqu'elle bombarde l'arrière-front ukrainien. De ce fait, une grande partie de la population doit vivre sans électricité alors que les températures descendent régulièrement en dessous de 0°C.
Hugues, un français habitant en Chine à Canton, témoigne du confinement de son quartier. Il déplore le manque d'informations et évoque la méfiance grandissante des autres habitants à l'égard du gouvernement. La Chine est le dernier pays à pratiquer la politique zéro covid qui consiste à prendre des mesures de restrictions dès l'apparition d'un cas.
Dans des vidéos postées sur les réseaux sociaux, des mères et des femmes de soldats russes mobilisés appellent à ce que leurs proches combattent dans des conditions dignes. Un mouvement pris au sérieux par Vladimir Poutine.
Jérémy, un Français habitant à Kiev, raconte son quotidien dans la capitale ukrainienne, sans eau ni électricité.
Le président russe a rencontré pour la première fois les mères de soldats déployés en Ukraine, alors que certaines ont interpellé Vladimir Poutine pour avoir de leurs nouvelles.
Des mères de soldats russes demandent à recevoir des informations de leur fils partis au front dont elles restent sans nouvelles. Un gouverneur local leur a adressé une réponse lapidaire.
Vladimir Poutine rencontrait ce vendredi les mères de soldats russes mobilisés en Ukraine.
Alexandre Loukachenko a appelé Kiev à négocier avec Moscou, déclarant que "tout est véritablement entre leurs mains maintenant, s'ils veulent éviter la mort d'un grand nombre de personnes."
Les incendies mortels sont assez courants en Chine, en raison de normes de sécurité insuffisantes et de la corruption chez les responsables chargés de les appliquer.
Les Américains s'inquiètent d'un éventuel recours aux armes chimiques en Ukraine. Selon le géopolitologue, Bruno Tertrais, les Russes pourraient recourir à la méthode de "l'attaque sous faux drapeau" qui consiste à faire passer une éventuelle frappe chimique comme venant de l'armée ukrainienne.