L'ascenseur contribue à la valorisation immobilière du logement
Les Français ne sont pas remontés contre leur ascenseur. Il faut dire que ce dernier rend bien service. Surtout, il contribue à la valorisation immobilière du logement.
Les Français ne sont pas remontés contre leur ascenseur. Il faut dire que ce dernier rend bien service. Surtout, il contribue à la valorisation immobilière du logement.
En 2013, moins de 1 % des logements étaient privés d’un des trois éléments de confort sanitaire de base que sont l’eau courante, une baignoire ou une douche, des WC à l’intérieur, révèle aujourd’hui l’Insee dans sa dernière étude sur les conditions de logement. Certes, c’est beaucoup moins qu’en 1984, où on en comptait 15 %.
Dans le secteur locatif, les ménages qui ont déposé ou renouvelé une demande de logement en HLM au cours des douze derniers mois sont de plus en plus nombreux. Selon l’Insee, ils sont passés de 1,2 million en 2006 à 1,4 million en 2013, représentant 5,1 % de l’ensemble des ménages contre 3,4 % il y a 9 ans.
Le nombre de Français insatisfaits par leurs conditions de logement a nettement diminué en 40 ans. Toutefois, un ménage sur quatre déclare vouloir changer de logement ou y être contraint.
Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, doit signer ce lundi 20 avril à Rennes, le premier protocole de préfiguration du Nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU).
Le réseau immobilier annonce la création de Prowen, sa centrale d'achats dédiée à l'énergie et aux services énergétiques, destinée à permettre de « réduire la facture énergétique de ses clients ».
300 000 ménages sont vulnérables énergétiquement en Aquitaine, selon une étude de l'Insee. « Ils consacrent soit plus de 8 % de leur budget pour le chauffage ou l'eau chaude sanitaire, soit plus de 4,5 % pour le carburant nécessaire à leurs déplacements domicile-travail, domicile-étude ou d'accès aux services ».
La ministre du Logement « se réjouit » des mesures annoncées mercredi 8 avril par le Premier ministre, mesures « qui vont permettre de développer la rénovation de logements, de faire baisser la facture énergétique des ménages et de créer des emplois non délocalisables dans le secteur du bâtiment ».
En conférence de presse à l'Elysée, le Premier ministre a dévoilé ses mesures pour relancer l'investissement.
Selon les professionnels, le dispositif est peu incitatif. L'une des solution pourrait être d'étendre la pose des équipements à la réduction fiscale.
Les notaires proposent une nouvelle estimation de la différence de valeur des biens en fonction de la performance énergétique. Premières conclusions : les écarts sont plus forts en province qu'en Ile-de-France.