Pratiquement plus aucun ouvrier ou employé n'arrive à acheter son logement à Paris
En 2018, les employés et ouvriers n'ont représenté que 5% des acheteurs dans la capitale. C'est trois fois moins qu'il y a 20 ans.
En 2018, les employés et ouvriers n'ont représenté que 5% des acheteurs dans la capitale. C'est trois fois moins qu'il y a 20 ans.
Lors des premières estimations, l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne avait constaté des hausses limitées des loyers dans la capitale pendant cette période où le plafonnement des loyers était interrompu. Finalement la hausse est plus marquée que prévu.
Les femmes qui consultent des annonces immobilières sur internet ciblent davantage certaines villes que d'autres.
À fin mars, 985.000 transactions ont été réalisés sur douze mois. Un volume tel que les notaires se demandent si le million de transactions ne va pas être atteint rapidement.
À Paris, il ne faut que 34 jours en moyenne pour vendre un logement, alors qu'en moyenne en France, il faut compter entre 90 et 100 jours.
SeLoger a réalisé pour BFM Immo une carte de France des loyers dans les principales villes étudiantes. Ces derniers varient du simple au triple entre Brest et Paris.
Six acquéreurs haut-de-gamme sur dix estiment que c'est le bon moment pour acheter un bien en France, selon une étude de Lux-Residence. Et pour 47%, c'est notamment grâce à la politique d'Emmanuel Macron.
Le site de location et de vente entre particuliers PAP a étudié à la loupe les loyers pratiqués dans la capitale et en petite couronne.
En 2017, l'Union nationale des propriétaires immobiliers avait obtenu l'annulation de la première mouture du plafonnement des loyers par la justice. L'UNPI s'attaque aujourd'hui au nouveau dispositif mis en place ce 1er juillet à Paris.
Annulé en 2017, le très populaire encadrement des loyers est à nouveau appliqué à Paris depuis le 1er juillet. Une mesure qui a ses effets pervers et qui ne règle pas la question de la pénurie de logements dans les grandes villes.
Pour la première fois depuis 2015, les prix immobiliers ont connu un léger repli dans la capitale, selon le réseau Century 21. Ils ont reculé de 0,9% sur trois mois.
Les loyers parisiens ne pourront plus dépasser certains plafonds pour tous les baux signés ou renouvelés à compter de ce lundi 1er juillet.