Taxe sur les loyers élevés : Le projet se précise
Le projet de loi de finances pour 2012 précise le principe de la taxe sur les loyers abusifs dans les très petites surfaces, qui devrait entrer en vigueur le 1er janvier prochain.
Le projet de loi de finances pour 2012 précise le principe de la taxe sur les loyers abusifs dans les très petites surfaces, qui devrait entrer en vigueur le 1er janvier prochain.
Les prix de l’immobilier en Île-de-France continuent de progresser, mais leur taux de croissance marque le pas, selon les derniers chiffres de la Chambre des Notaires de la région. Si Paris inscrit un nouveau record de prix au m², son atterrissage programmé se précise.
Le quartier résidentiel des Brotteaux va se doter d’un nouveau parking souterrain. Une plus-value importante pour ce secteur du sixième arrondissement, dans lequel les prix de l’immobilier ont déjà pris de la valeur.
C'est le retour au calme pour le marché immobilier du sixième arrondissement de Lyon. Le nombre de transactions a tendance à baisser, et l’hésitation semble s’emparer des vendeurs. Certains reportent même leur projet à cause de la réforme des plus-values immobilières. Mais les prix de cet arrondissement très recherché restent élevés, avoisinant les 4 000 euros par mètre carré.
La moitié des notaires de province anticipe une baisse des transactions et des prix de l’immobilier, selon le site Immonot.com.
Le nombre d’étrangers effectuant des transactions immobilières en France a augmenté de 21 % en 2010, selon l’Observatoire Investing & Living Abroad de BNP Paribas. C’est en Ile-de-France et dans le sud que la majorité d’entre eux choisissent d’acheter, en premier lieu une résidence secondaire.
Un éco-quartier est actuellement en cours de construction au sud ouest de la ville, en lieu et place des anciens sites industriels et portuaires.
Touché par la crise de 2008-2009, le marché immobilier rouennais a repris des couleurs en 2010. Lors de notre première enquête dans la capitale normande, au printemps 2010, les agents immobiliers constataient un retour timide des acheteurs, à la faveur de la baisse conjointe des prix et des taux d’emprunt. Ce retour s’est confirmé depuis, et, malgré les craintes liées à la remontée des taux, le marché reste dynamique à ce jour, sur les deux rives de la Seine.
Les modalités du projet de loi contre les loyers abusifs dans les très petites surfaces ont été dévoilées. Détail d’une mesure que le gouvernement veut incitative, mais que ses détracteurs jugent symbolique.
Plus de 8 Français sur 10 se disent favorables à une intervention de l’Etat dans les prix de vente des biens immobiliers, d’après un sondage Ipsos réalisé pour le promoteur Nexity*. 78 % d’entre eux estiment « qu’il est aujourd’hui difficile de trouver un logement en France », et 76 % que la situation du logement va se dégrader « pour les générations à venir »...
Selon les chiffres publiés par l’Association des responsables de copropriété (ARC), les charges de copropriété ont augmenté de 4,5 % en 2010, portant les dépenses moyennes des copropriétaires à 41,7 euros par mètre carré par an. L’Observatoire des charges de l’association met également en avant des écarts de taille entre les régions.
Le marché immobilier lillois répond à une activité saisonnière entre septembre et juin. Notamment grâce à ses nombreuses écoles de prestige. Parents et enfants s’accordent sur un achat en raison du PTZ+, un véritable « coup de pouce » pour ces primo-accédants.
La ville du Nord assiste à une stabilisation de son activité immobilière au cours des derniers mois. Dans ce contexte, les quartiers prisés et ceux indésirables restent les mêmes. Parmi ces lieux de vie boudés, certains arrivent tout de même à tirer leur épingle du jeu.
Le scénario d’une baisse des prix de l’immobilier se précise. Le Bipe, qui notait en juin une tendance au « ralentissement progressif », anticipe désormais un repli à partir de l’année prochaine. Le mouvement pourrait même durer « plusieurs années ».
Les prix de l’immobilier marquent le pas. En province, ils ont reculé de 0,1 % entre le premier et le deuxième trimestre - une première depuis 2 ans. Pierre Bazaille, président de l’Institut notarial de l’immobilier, estime que cette tendance devrait se confirmer au cours des prochains mois. Pour l’heure cependant, c’est la réforme de la fiscalité des plus-values immobilières qui inquiète la profession.
Le patrimoine immobilier résidentiel de la capitale est estimé à 642,9 milliards d’euros, d’après une étude exclusive du site Meilleursagents réalisée pour la revue Challenges. C’est le 16ème arrondissement qui détient le total de murs le plus cher, estimé à 82,6 milliards d’euros.
Les indicateurs avancés de la chambre des Notaires de Paris/Ile-de-France-Insee font état d’une baisse des prix d'environ 1 % en moyenne parisienne entre juin et juillet. C'est ce que montre la comptabilisation dans leurs données des avant-contrats de vente (compromis et promesses unilatérales de vente).
Les prix de l’immobilier en Ile-de-France ont montré d’importantes disparités au deuxième trimestre, selon les derniers chiffres publiés par les Notaires de Paris/Ile-de-France. Si la première couronne a vu le prix de ses appartements rester augmenter de 2,3 % en moyenne, la grande banlieue, elle, met fin à la tendance haussière. Du moins « dans trois départements sur quatre ».
La capitale n’a pas vu ses prix immobiliers fléchir au deuxième trimestre, selon les Notaires franciliens. Mais malgré un nouveau record, à 8 150 euros par mètre carré à Paris, « l’activité devrait être en fort ralentissement au second semestre », estiment-ils dans leur note de conjoncture trimestrielle.
De par sa localisation, le 13ème arrondissement offre des avantages considérables pour investir à Paris. Bonne desserte en transports, environné d’universités et d’écoles, y acheter un studio voire une résidence secondaire est le plus souvent une valeur sûre.
Pas de baisse ni même de décélération pour les prix immobiliers du 13ème arrondissement parisien, qui continuent à progresser. Selon Martine Métayer, agent commercial à l’agence Carter’s Immobilier, les tarifs actuels sont même « exorbitants à la vente ». Une flambée des prix qui durera, estime-t-elle, « tant que les biens continueront à être surévalués ».
Selon De Particulier à Particulier (PAP), les prix des biens vendus directement sans agence* se sont stabilisés au mois d’août. Le marché, actuellement au plus haut, pourrait connaître des variations plus nettes en septembre.
Ce n’est pas une blague, c’est ce à quoi s’engage la société Avéo, réseau d’aide à la vente de biens immobiliers et de Home Staging. Le groupe a en effet lancé la garantie "Vendu en 3 mois", un ensemble de prestations qui permettent de « ramener le délai moyen de la vente des biens à 19,5 jours, contre 127 jours traditionnellement ».
La hausse des loyers à la relocation marque le pas. Selon l'observatoire Clameur, elle ne devrait pas dépasser les 2 % cette année, dans un contexte économique incertain. L'économiste Michel Mouillart, auteur de l'étude, pointe les difficultés de certains propriétaires bailleurs.
Les prix de l’immobilier parisien ont baissé de 3 % entre le 1er juillet et le 1er septembre, selon le dernier baromètre publié par le groupe Meilleursagents.com. Un mouvement baissier qui clôt plus de deux ans de hausse, mais devra néanmoins être confirmé par les Notaires d’Île-de-France.
Le marché des transactions immobilières entre particuliers n’a pas le vent en poupe. Selon Entreparticuliers.com, qui publie vendredi son baromètre mensuel, la fin de l’année s’annonce difficile.
Comme annoncé par le ministre de l’Enseignement supérieur mardi dernier, le « passeport logement étudiant » va être initié dans les académies de Lille et de Lyon, « avant fin septembre. Ce dispositif est censé pouvoir dispenser les étudiants du paiement d’un dépôt de garantie.
En dépit de son statut de ville balnéaire, La Baule est en activité permanente. Les commerces sont ouverts tous les jours, et les hôtels toute l’année, pour le plus grand bonheur des riverains. Le résultat d’une politique impulsée par la municipalité.
La ville balnéaire, au nord de Nantes, voit son marché se concentrer sur les résidences secondaires. Les tarifs diminuent crescendo dès lors que l’on s’éloigne de la mer. Mais face à l’océan, gare à la houle des prix.