Le marché marque le pas
Les stocks de biens augmentent mais le ralentissement porte surtout sur les grandes surfaces.
Les stocks de biens augmentent mais le ralentissement porte surtout sur les grandes surfaces.
Quels sont les changements du paysage immobilier grenoblois ? Le visage de la ville se transforme rapidement : le plan local d'urbanisme, mis en place en 2005, a libéré du foncier, alors que les terrains restaient jusque-là une denrée rare : de fait, l'offre de programmes neufs augmente sensiblement, surtout dans des zones où rien n'avait rien été construit depuis trente ans.
Les prix, dopés par les programmes neufs et la rénovation de nombreux quartiers, continuent à augmenter dans la capitale du Dauphiné. Pas de doute, Grenoble, souvent choisie par les cadres et les étudiants pour sa qualité de vie, est bien l'une des villes de province où l'immobilier est le plus cher.
Le marché montpelliérain est-il affecté par la conjoncture immobilière nationale actuelle ? A Montpellier comme ailleurs, nous sommes effectivement passés d'une situation extrêmement favorable aux vendeurs à un marché plus raisonnable dans lequel l'offre et la demande ont tendance à s'équilibrer.
Les prix commencent à se tasser.