Rendements diminués, prix des parts en hausse… L'impact du coronavirus sur les SCPI
Si les répercussions de la pandémie sur les cours des actions et des obligations ne se sont pas faites attendre, l'immobilier ne devrait pas, non plus, être épargné.
Si les répercussions de la pandémie sur les cours des actions et des obligations ne se sont pas faites attendre, l'immobilier ne devrait pas, non plus, être épargné.
Avec la crise économique et le krach boursier, les souscripteurs de contrat d'assurance vie s'inquiètent. D'autant plus parmi ceux qui ont succombé à l'appel des actions juste avant l'arrivée du coronavirus.
Les professionnels du secteur constatent une hausse de 20% des demandes par rapport à ce qu'ils observent d'ordinaire à la même période de l'année.
"Dans les entreprises où l'Etat est actionnaire, on va demander de ne pas verser des dividendes, en tout cas à des particuliers", a déclaré Muriel Pénicaud, ministre du Travail. Pourtant, il est légalement impossible de traiter différemment les actionnaires.
Sur BFM Business, Joseph Oughourlian, fondateur du fonds Amber qui est devenu le premier actionnaire de Lagardère, n'a pas de mots assez durs pour dénoncer la gestion et la stratégie du groupe.
Malgré un accord entre le gouvernement et le secteur du bâtiment, les conditions de protection des salariés pour une reprise du travail ne sont pas réunies, estime le président de la Fédération française du bâtiment sur BFM Business.
Alors que la célèbre pièce (aussi appelée Louis d'or) n'a plus de cotation officielle depuis 2004, CPoR Devises, qui assure aujourd'hui la cotation de référence, affirme que cette dernière a été suspendue, faute d'offre.
Après le krach du 29 octobre 1929 à Wall Street, celui du 19 octobre 1987, la crise des "subprime" en octobre 2008, c'est donc la deuxième semaine du moins de mars 2020 qui restera dans les annales.
La Bourse de New York a vivement rebondi vendredi au lendemain de sa pire séance depuis le krach boursier d'octobre 1987, profitant d'un impressionnant regain de vigueur en toute fin de séance après la proclamation par Donald Trump de l'état d'urgence face à l'épidémie de coronavirus.
Prise en tenaille entre l'absence de détails dans les mesures de soutien à l'économie de l'administration américaine face au coronavirus, et le passage en pandémie annoncé par l'OMS, la place américaine plonge à nouveau.
La bourse américaine n'a pas échappé au vent de panique qui a traversé la planète ce lundi. En cause, la propagation de l'épidémie de coronavirus et la chute des cours du pétrole.
La Réserve fédérale américaine va augmenter les montants qu'elle injecte quotidiennement dans le marché monétaire afin d'éviter qu'une banque ou qu'une entreprise ne parvienne plus à se financer.
Quand l'épargne sans risque est grignotée par l'inflation, que faire de son argent? Certains placements peuvent sembler prometteurs, soit pour des raisons fiscales soit par des rendements alléchants. Nos conseils pour éviter les mauvaises surprises.
La volatilité des marchés, qui pourrait durer, expose certains groupes tricolores à voir des fonds activistes, souvent jugés importuns, prendre position au capital. Sur Good Morning Business, Nicolas Dufourcq le patron de la banque publique d'investissement assure que l'institution va agir pour protéger certaines entreprises.
Une heure avant la clôture, lundi, Wall Street a opéré un rebond impressionnant avec des hausses de 5% pour le Dow Jones et presque autant pour le Nasdaq. Ce mardi, les Bourses asiatiques ont ouvert plus timidement.
L'épidémie de coronavirus a provoqué une véritable "panique" boursière, explique le membre du comité d'investissement de Carmignac. Surtout, la réaction des Etats, indispensable pour la confiance des citoyens, sont particulièrement radicales pour l'économie.
Du côté de Tokyo ou encore de Shanghai, les indices repartent doucement à la hausse. Une bulle de respiration qui ne signifie pas pour autant un retour au calme...
Les places boursières du Golfe, dont celle de Ryad, ont dégringolé dimanche à l'ouverture des marchés, affolées par les conséquences déstabilisatrices du nouveau coronavirus sur l'économie mondiale et les prix du pétrole en chute libre.