L'Assemblée approuve la Banque publique d'investissement
PARIS (Reuters) - Les députés français ont adopté jeudi le projet de loi qui prévoit la création de la Banque publique d'investissement (BPI) qui...
PARIS (Reuters) - Les députés français ont adopté jeudi le projet de loi qui prévoit la création de la Banque publique d'investissement (BPI) qui...
Bruxelles a validé, mercredi 28 novembre, le plan de restructuration des banques ibériques nationalisées. Ce qui va leur permettre d’obtenir 37 milliards d’euros. Mais le prix à payer est lourd pour l'emploi.
Le projet de loi du gouvernement va bien interdire certaines activités et en isoler d’autres, selon Les Echos. Surtout, le texte renforce considérablement l’autorité de contrôle prudentiel, en lui donnant de nouvelles prérogatives.
Le projet de loi sera présenté le 19 décembre. Pour Pierre Moscovici, il faut séparer les activités spéculatives de celles "utiles à l'économie", sans rompre avec la banque universelle.
Michel Pébereau, président d’honneur de BNP Paribas et président d’un groupe de travail au sein de l’Institut Montaigne, préconise la mise en place de règles pour réguler la liquidité. Mais il rappelle également l’importance de ne pas bloquer la croissance.
Les régulateurs financiers estiment à environ 67 000 milliards de dollars la taille de ce système bancaire parallèle. Ils souhaitent une surveillance et une régulation accrues.
Le ministre de l'Economie a indiqué ce jeudi 15 novembre que certaines activités de marché seraient regroupées dans une filiale isolée. D'autres seront interdites.
Baudoin Prot,président de BNP Paribas estime que les règles dites de Bâle III sont devenues "un phénomène européen", en référence à l’abandon des Etats-Unis, qui n’appliqueront pas cette nouvelle régulation à partir de début 2013.
Le projet français pour mieux sécuriser les dépôts des Français au sein des banques sera présenté le 19 décembre. Déjà, on sait qu'il n’est plus question d’une séparation à des activités à proprement parler.
La recapitalisation de la banque franco-belge pourrait empêcher l’Etat dans rentrer dans les clous budgétaires.Tout va dépendre de la décision de l’institut de statistiques européen, Eurostat.
Les autorités américaines ont annoncé, ce vendredi 9 novembre, renoncer à tout projet d’implantation de Bâle III au 1er janvier 2013. Elles ont reçu trop d'avis défavorables de la part des établissements américains.
La Société Générale et BNP Paribas ont connu une hausse de leurs revenus dans la banque de marché et une baisse sur la banque de détail. Le Crédit Agricole navigue lui un peu à contre-courant.
Le Crédit Agricole a annoncé ce vendredi, une perte nette de 2,85 milliards d'euros au troisième trimestre. A la bourse de Paris, le titre de la banque chute de plus de 5% à la mi-journée. (Article mis à jour à 13 heures).
La Banque de France prévoit un recul de 0,1% du produit intérieur brut au 4e trimestre, de la même façon qu'au 3e trimestre. Si ces prévisions se confirment, cela signifie que la France entre en période de récession économique.
Le gouvernement français va encore apporter une rallonge de près de 3 milliards d’euros pour recapitaliser la banque franco-belge. En réalité, la France n'a pas le choix: elle ne peut pas laisser tomber Dexia…
Malgré d’excellents résultats publiés ce mercredi 7 novembre, l’établissement marque le pas sur la banque de détail en France. Jean-Laurent Bonnafé, patron de la banque, invité de BFM Business, prévoit de réduire les coûts.
BNP Paribas, la Société générale et Crédit Agricole SA publient leurs résultats pour le troisième trimestre à partir du mercredi 7 novembre. Ils interviennent alors que les banques françaises sont aux prises avec un environnement difficile en zone euro.
Certaines banques refusent d'autoriser leurs épargnants à augmenter le plafond de leur livret A à 19 125 euros au lieu des 15 300 euros auparavant. Une pratique que dénonce l'Association française des usagers des banques.
Lloyds Banking Group, Barclays et Royal Bank of Scotland ont publié cette semaine des pertes dues à de lourdes provisions liées à ce scandale. Au total, le montant de ces provisions passées par les banques britanniques a dépassé les 10 milliards de livres.
Le conseil de stabilité financière a actualisé la liste des établissements dits systémiques, c’est-à-dire dont la faillite pourrait déstabiliser l’économie mondiale. Deux banques rentrent, trois sortent de cette liste. Les quatre plus grandes banques françaises y figurent.