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"Un pincement au cœur": Brigitte Macron dit au revoir au panda Yuan Meng du zoo de Beauval

Brigitte Macron au zoo de Beauval le 17 mai 2023

Brigitte Macron au zoo de Beauval le 17 mai 2023 - GUILLAUME SOUVANT / AFP

Le panda, né en 2017 dans le zoo et dont Brigitte Macron est la marraine, va repartir en Chine le 4 juillet prochain "pour se reproduire avec une femelle sans lien de parenté".

Avec un "petit pincement au coeur", Brigitte Macron est venue saluer une dernière fois mercredi au ZooParc de Beauval Yuan Meng, le premier des bébés pandas né en 2017, dont elle est marraine, avant qu'il ne reparte en Chine le 4 juillet.

"Yuan Meng va bientôt repartir en Chine, c'est pour cette raison que je voulais être là aujourd'hui", a déclaré l'épouse du président Emmanuel Macron lors d'une visite surprise de près de trois heures mercredi après-midi au parc zoologique de Saint-Aignan (Loir-et-Cher), aux côtés de la secrétaire d'État à la Transition écologique Bérangère Couillard.

"J'essaierai d'aller le voir peut-être une fois là-bas. Mais là, j'ai un petit pincement au coeur", a-t-elle ajouté.

Retour en Chine

Yuan Meng, le premier bébé panda né en France en août 2017 au ZooParc de Beauval, ira s'installer cet été au Centre de recherche et de reproduction du panda géant de Chengdu (Chine), "pour se reproduire avec une femelle sans lien de parenté", avait indiqué le directeur du zoo Rodolphe Delord.

"Ça fait cinq ans et demi que je connais Yuan Meng, et à chaque fois que je le vois, cette même émotion revient", a poursuivi la Première dame. "J'ai du mal à l'analyser. Il génère un sentiment de zénitude. On le regarde et on n'a pas envie d'être ailleurs. Mais pourquoi je ne sais pas."

Véritables stars de Beauval, les géniteurs de Yuan Meng, Yuan Zi et Huan Huan, prêtés depuis 2012 par les autorités chinoises, ont récemment vu leur séjour être prolongé jusqu'en 2027.

Entre deux selfies avec des visiteurs, Brigitte Macron est également allée voir les deux jeunes soeurs de son filleul panda, les jumelles Huanlili et Yuandudu qui elles aussi restent à Beauval.

T.P. avec AFP