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Perte de poids, Saint-Valentin, parentalité... comment se débarrasser de certaines publicités sur Google?

L'outil "Mes préférences publicitaires" de Google permet de limiter les annonces sensibles, possiblement vectrices d'émotions néfastes chez l'utilisateur.

La curiosité, l'inconfort, l'irritation, la peur, la tristesse. Et le plus souvent l'indifférence. Face aux publicités rencontrées sur internet, il existe tout types d'émotions. C'est tout l'objet de la dernière étude menée par Google avec Ipsos en France.

"Celle-ci met en lumière des tendances intéressantes concernant les émotions et réactions des utilisateurs face à certaines thématiques de publicités en ligne, soulignant ainsi l'importance pour les consommateurs d’avoir le contrôle sur les thématiques des annonces qu’ils souhaitent voir en ligne", fixe le communiqué du géant américain.

La perte de poids, l'alcool et l'amour. Trois sujets "sensibles" dont les Français souhaitent une exposition mineure sur internet où 35% d'entre eux "ressentent des émotions négatives face à des publicités en ligne en lien avec la perte de poids et les régimes amincissants."

Des annonces "personnalisées"

Limiter la diffusion de ce genre de publicités est donc devenu un enjeux majeur sur internet. Tout comme "la nécessité" pour les marques "d’adopter une approche nuancée et personnalisée", vis-à-vis des utilisateurs.

Sur sa plateforme "Mes préférences publicitaires", le géant américain propose de renforcer le contrôle que vous avez sur les annonces qui apparaissent sur votre écran. Avant toute chose, il faut activer les "Annonces personnalisées" (que vous êtes susceptibles de voir sur Google, YouTube et Discover).

La liste des thèmes "sensibles" répertoriée par Google
La liste des thèmes "sensibles" répertoriée par Google © Google (capture d'écran)

Dès lors, vous pourrez choisir parmis les thèmes selectionnés par Google (Vêtements, Musique et audio, Téléphones mobiles et accessoires, Jeux, Locations de vacances, etc..). Mais aussi les marques (comme Amazon, Google Workspace et Apple) et, enfin, les sujets "sensibles".

Willem Gay