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MaPrimeRénov’
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La rénovation énergétique de votre maison

Vous avez chaud en été et froid en hiver dans votre maison ? Il ne suffit de pas grand-chose pour se sentir mieux chez soi ! Pensez aux travaux de rénovation énergétique (changement d’une chaudière, isolation des combles…) qui vont vous permettre de faire des économies. Pour financer votre projet et réduire vos factures d’électricité, vous pouvez d’ailleurs bénéficier de nombreuses aides comme MaPrimeRenov’, ou les primes CEE. Vous trouverez dans ce dossier toutes les informations qui vous permettront d’améliorer le DPE de votre maison à moindre coût !

Laurent Wauquiez, président du Conseil régional de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Elections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes

Initialement prévues en mars 2021, les élections régionales ont été reportées aux 20 et 27 juin en raison de la pandémie de Covid-19. Laurent Wauquiez (LR), candidat à sa réélection, est réélu président du conseil régional sortant en Auvergne-Rhône-Alpes. Face à lui, d'autres candidats : Najat Vallaud-Belkacem (à la tête d'une liste d'alliance PS - PRG - GRS - Cap écologie), Fabienne Grébert (Europe Ecologie Les Verts), Bruno Bonnell (La République en marche et Mouvement radical), Andrea Kotarac (Rassemblement national), Cécile Cukierman (PCF et La France insoumise), Gerbert Rambaud (Debout la France). L'épidémie de coronavirus bouleverse les conditions du scrutin, mais aussi la campagne, notamment à Clermont-Ferrand et à Lyon. Testée positive au Covid-19, Najat-Vallaud-Belkacem est contrainte de suspendre sa campagne pendant 10 jours. Ces élections permettent de renouveler les élus du conseil régional et de désigner un nouveau président de région. Depuis 2016 et la fusion des conseils régionaux d’Auvergne et de Rhône-Alpes, l'assemblée délibère à Lyon. Les 204 sièges de conseillers régionaux sont intégralement renouvelés pour six ans, selon un système mixte à finalité majoritaire, c'est à dire proportionnel avec une prime à la liste arrivée en tête. En l'absence de majorité absolue au premier tour, les listes qui atteignent au moins 10% des suffrages exprimés se maintiennent pour un second tour. Il est donc probable que les électeurs doivent choisir entre quatre candidats, dans le cadre d'une quadrangulaire.

La nouvelle Hyundai i20 hybride
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Hyundai i20 Nouvelle Génération

Découvrez tout l’univers de Hyundai sur BFMTV et notamment sa dernière citadine. Son nom ? Hyundai i20 Nouvelle Génération. Partez à la découverte de ce nouveau modèle, qui s’inscrit dans une démarche écoresponsable pour la marque, avec son moteur hybride 48V. Hyundai i20 Nouvelle Génération joue la carte de la technologie avec une gamme d’équipements de connectivité complète et à la pointe, proposant ce qu’il y a de mieux en matière de sécurité. Avec son design moderne et ses 4 finitions proposées ("Initia", "Intuitive", "Creative" et "Executive"), vous allez l’adorer.

Le Parlement européen a approuvé mercredi le contrôle des investissements étrangers dans l'UE.

Elections européennes 2019

Les élections européennes sont prévues du 23 au 26 mai, et doivent permettre d'élire les 705 eurodéputés qui contribueront à façonner les lois de l'Union pendant cinq ans, au sein du Parlement européen. Une élection multilingue, multinationale, qui appelle aux urnes près de 352 millions d'électeurs. A la suite du Brexit, le nombre de sièges au passe de 751 à 705 pour cette nouvelle élection. En France, le vote doit permettre de choisir 79 eurodéputés, et aura lieu le dimanche 26 mai. Ce scrutin est marqué par la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, et se fera sur fond de montée des extrêmes et de l'euroscepticisme. Le rôle du Parlement européen est triple: législatif, d'abord, avec l'adoption de différentes normes, budgétaire aussi, avec la décision du budget annuel de l’Union européenne, et de contrôle enfin, avec la désignation du président de la Commission européenne.

Invité sur BFMTV ce dimanche, Philippe Poutou a constaté un "état de faiblesse" et une "résignation qui se généralise", responsables selon lui du manque d’engouement pour la lutte sociale contre les réformes libérales que le gouvernement...

Philippe Poutou

Ouvrier et un des responsables CGT de l'usine Ford de Blanquefort, Philippe Poutou représente pour la deuxième fois le NPA lors de cette élection présidentielle de 2017. En 2012, il totalise 1,15 % des voix, soit 411 160 suffrages au premier tour. C'est moins bien qu'Olivier Besancenot avant lui, avec l'étiquette LCR, qui avait réuni en 2007 4,08% des voix et 4,25% des voix en 2002. Depuis cette élection, il avait pris ses distances avec l'exécutif du mouvement, jugé "trop parisien". Mais en mars 2016, il est de nouveau choisi pour incarner le NPA à l'élection présidentielle. "Dans une situation difficile, le plus simple, c’était que ce soit moi qui y retourne", a-t-il expliqué au Monde. "J’ai une petite expérience, je n’arrive pas en terrain inconnu, même si on sait que ce sera une campagne compliquée". Son slogan pour la présidentielle est un classique du NPA et de l'extrême gauche en général, déjà utilisé avant lui par Olivier Besancenot: "Nos vies, pas leurs profits".

Nathalie Arthaud, candidate Lutte ouvrière à l'élection présidentielle

Nathalie Arthaud

Porte-parole de Lutte Ouvrière, Nathalie Arthaud mène en 2022 sa troisième campagne présidentielle. En 2012, elle avait succédé à Arlette Laguiller pour représenter son mouvement. Elle rassemble alors 0,56 % des voix au premier tour et ne donne pas de consigne de vote pour le second tour, considérant François Hollande comme un "faux ami". En 2017, Nathalie Arthaud attaque frontalement le Parti socialiste et dénonce le bilan de François Hollande. "Nous n'avons jamais fait partie de la gauche gouvernementale, d'un gouvernement qui se prétend de gauche et qui usurpe même l'étiquette socialiste. Nous n'avons rien à voir avec cette politique-là", assure-telle. Conseillère municipale de Vaulx-en-Velin jusqu'en 2014, la candidate est également professeure d'économie et de gestion dans un lycée à Aubervilliers.

Jacques Cheminade

Jacques Cheminade

Régulièrement, il réapparaît à la surprise générale: Jacques Cheminade est candidat pour la troisième fois à l’élection présidentielle. A 74 ans, il est le doyen des candidats, et fondateur du parti Solidarité et progrès, épinglé par l’organisme de lutte contre les sectes Miviludes comme “jouant sur la fibre idéaliste et engagée des étudiants”. Il se décrit comme un “gaulliste de gauche” et défend notamment une sortie de l’euro et “un monde sans la City ni Wall Street”, du titre de l’un de ses livres. Inspiré de l’homme politique américain controversé Lyndon LaRouche, Jacques Cheminade s’est fait remarquer par ses propositions parfois iconoclastes. Ainsi, il veut lancer des programmes pour “l’industrialisation de la Lune” et en faire une “plateforme future vers Mars et le reste du système solaire.” Un objectif déjà défendu en 2012, qui figure à nouveau dans son programme de 2017. Aura-t-il suffisamment de parrainages pour mener sa campagne jusqu’au bout? Ca n’est pas certain. Jacques Cheminade a déjà dû renoncer à se présenter plusieurs fois faute de signatures.

Le député de Loire-Atlantique François de Rugy, le 30 mars 2015.

François De Rugy

Elu député de Loire-Atlantique depuis 2007, François de Rugy a fait partie pendant ce quinquennat des écologistes pro-François Hollande, face à ceux, dans sa famille politique, favorable à une rupture avec le gouvernement de Manuel Valls. Il a été co-président du groupe écologiste à l'Assemblée nationale jusqu'à cette scission. Depuis septembre 2015, il est président du "Parti écologiste", regroupant les anciens d'Europe Ecologie-Les Verts qui dénoncent une "dérive gauchiste" du parti de Cécile Duflot et Yannick Jadot. Il est candidat à la primaire de la gauche, en tant que représentant de ce mouvement. En guise de programme, François de Rugy a publié "un projet pour une France de tous les progrès". Avec une part belle faite aux questions environnementales, comme la promesse de 100% d'énergie renouvelable en 2050, 0% de transport terrestre carboné en 2025 ou encore la mise en place d'une stratégie nationale pour la végétalisation des villes. Mais le candidat à la primaire de la gauche souhaite aussi basculer les cotisations familles sur la CSG, un prélèvement à la source, ou imposer des critères écologiques dans les marchés publics.

Benoît Hamon sur les bancs de l'Assemblée nationale. -

Benoît Hamon

Chef de file de l'aile gauche du PS, Benoît Hamon a lancé sa campagne en août 2016 pour la primaire organisée par le PS. Deux ans auparavant, fin août 2014, il avait quitté le gouvernement de Manuel Valls après une série de critiques acide à l'encontre de l'exécutif. Il y avait d'abord exercé en tant que secrétaire d'Etat à la consommation, puis en tant que ministre de l'Education. Après son départ du gouvernement, il redevient député des Yvelines: il s'oppose à la loi Macron ainsi qu'à l'inscription dans la Constitution de la déchéance de nationalité pour les Français bi-nationaux condamnés pour terrorisme. En parallèle, il s'attache à faire reconnaître le burnout comme maladie professionnelle. Benoît Hamon se décrit comme un anti-Manuel Valls. Il promet l'abrogation de la loi El Khomri, et souhaite instaurer un revenu universel. Il veut également introduire une dose de proportionnelle aux législatives, et mettre en place un "plan massif" pour la formation des professeurs. A l'issue de la primaire de la Belle alliance populaire, Benoît Hamon a été désigné comme le candidat de la gauche à la présidentielle, en s'imposant largement face à Manuel Valls.