Le nombre de chômeurs en baisse de 1,2% au premier trimestre
Selon la Dares, le nombre de chômeurs de catégorie A inscrits à Pôle emploi a reculé de 1,2% au premier trimestre, par rapport au trimestre précédent.
Selon la Dares, le nombre de chômeurs de catégorie A inscrits à Pôle emploi a reculé de 1,2% au premier trimestre, par rapport au trimestre précédent.
Face à la pénurie de main d'œuvre, des entreprises misent sur des opérations originales pour attirer l'attention de potentiels candidats.
Le décret d'application sur l'abandon de poste, qui entérine la suppression des indemnités chômage pour les salariés concernés, entre en vigueur mardi.
Selon une étude de HelloWork, famille et santé se classent loin devant la valeur travail pour ces salariés. Même faire carrière n'a plus la cote.
D'ici cinq ans, plus de 13.000 personnes dans les Hauts-de-France seront formées aux métiers liés aux véhicules électriques, la région comptant trois usines de batteries électriques en construction.
Dans son dernier bulletin, la Banque de France analyse les principales causes de la forte augmentation des difficultés de recrutement des entreprises malgré un taux de chômage qui reste élevé.
Selon le projet de loi de règlement du budget 2022 dévoilé par Les Echos, la fonction publique d'Etat a perdu près de 6000 agents l'an passé, notamment en raison des difficultés de recrutement.
Comme chaque année, Pôle emploi a publié une enquête sur les besoins de main-d’œuvre. En 2023, ce sont surtout les métiers de l’hôtellerie-restauration et ceux de l’agriculture qui ont des besoins. Parmi les métiers recherchés par les employeurs: les serveurs, ouvrier agricoles ou encore aides-soignants.
Selon une étude, face à cette pratique, le sentiment des employés est ambivalent. Source de stress (et de démission) pour les uns, elle présente plusieurs intérêts pour les autres.
Une étude de Pôle emploi comptabilise plus de 3 millions d'embauches potentielles en 2023. Les métiers de serveurs, d'employés de cuisine ou d'agents d'entreprises sont particulièrement recherchés.
D'après une enquête croisée de l'IFOP et du groupe Diot-Siaci, le taux d'absentéisme a sensiblement augmenté entre 2021 et 2022 notamment chez les jeunes de moins de 35 ans.
Pour la deuxième fois consécutive, le nombre de démissions a reculé en France entre le quatrième et le troisième trimestre 2022. Elles demeurent malgré tout nettement supérieures à leur niveau de 2019.