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La cuvée Le Magnifique par Thierry Marx et Wakaze.

sadiksansvoltaire X Wakaze

Thierry Marx x Wakaze: l’alliance étincelante de la gastronomie et du saké

C’est une histoire de passion et de savoir-faire. Le chef et la marque présentent trois cuvées de saké qui s’accordent avec un tout nouveau menu dévoilé au sein du restaurant Onor de Thierry Marx.

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L’Iconique, Le Magnifique, L’unique. Voici les noms prometteurs des trois nouvelles bouteilles de saké imaginées spécialement pour Thierry Marx par Wakaze. Une collaboration autour de l’élégant alcool qui prend tout son sens au vu des valeurs communes des deux entités.

Le déclic de Takuma Inagawa

Rien ne prédisait Takuma Inagawa à un avenir dans le mythique alcool asiatique. Arrivé il y a quinze ans en France, ce dernier tombe amoureux de la culture de l’hexagone, de sa cuisine et de ses vins. Contraint de retourner au Japon, Takuma Inagawa goûte pour la première fois au saké du pays. Loin de l’image stéréotypée du spiritueux de riz, notamment corrélée à la boisson produite en Chine, la finesse et la profondeur du jus japonais le surprend et l’inspire.

Les trois cuvées Thierry Marx x Wakaze.
Les trois cuvées Thierry Marx x Wakaze. © sadiksansvoltaire X Wakaze

Takuma Inagawa s’associe alors au maître brasseur Shoya Imai pour fonder Wakaze dans le pays du soleil levant en 2016. Portés par l’envie de s’implanter en France où il est difficile de se procurer du saké de qualité, les deux collaborateurs ouvrent leur brasserie, traditionnellement nommée sakagura, à Fresnes en 2019. L’histoire bleu blanc rouge ne fait que commencer…

Une collaboration avec Thierry Marx

Après avoir lancé leurs premières gammes en 2020, développé leur capacité de production pour atteindre les 200.000 bouteilles par an, ouvert le restaurant Wakaze Paris dans le 5ème arrondissement où le saké est présenté à la pression grâce à des tireuses, Takuma Inagawa veut aller plus loin: s’associer à un grand chef gastronomique. Et pas n’importe lequel puisque le créateur de la marque se tourne naturellement vers Thierry Marx, dont il admire la cuisine et les inspirations.

Thierry Marx et Takuma Inagawa.
Thierry Marx et Takuma Inagawa. © sadiksansvoltaire X Wakaze

La prise de contact est aussi audacieuse que touchante. Pour délivrer son envie de collaborer avec le chef, Takuma Inagawa lui adresse tout simplement un mail via la fiche contact de son site. Bien que le fondateur de Wakaze doute d’un retour, la stratégie s’avère payante. Thierry Marx se montre de suite emballé par le projet qui répond à sa cuisine empreinte d’influences asiatiques.

Les accords mets-saké

L’équipe Wakaze travaille alors avec le chef pour lui concocter une gamme de saké qui, comme pour ses autres collections, est fabriquée à partir d’ingrédients français. Une notion importante pour le chef indiquant qu’il était nécessaire d’allier la "rigueur japonaise" au savoir-faire et aux produits tricolores. De cette vision commune découlent trois bouteilles de saké co-signées, pensées pour s’accorder avec les mets de Thierry Marx comme le ferait un vin.

La cuvée L'Iconique par Thierry Marx et Wakaze.
La cuvée L'Iconique par Thierry Marx et Wakaze. © sadiksansvoltaire X Wakaze

On retrouve ainsi L’Iconique, dont les notes de fruits jaunes à chair blanche et de citron se marient parfaitement avec des poissons crus, des fromages à pâte dure ou encore des légumes; Le Magnifique, avec ses touches de citrons, agrumes et fleurs blanches idéales pour un poisson à chair blanche, des fruits de mer ou un dessert; et enfin L’Unique, caractérisé par ses arômes boisés et vanillés, à déguster à la fin d’un repas à l’image des whiskys.

Le saké s’exprime là où le vin ne le peut plus - Thierry Marx
La cuvée L'Unique par Thierry Marx et Wakaze.
La cuvée L'Unique par Thierry Marx et Wakaze. © sadiksansvoltaire X Wakaze

En parallèle du lancement de la collection haut de gamme, Thierry Marx s’apprête à présenter des mets autour de cette relation entre le saké Wakaze et sa cuisine gastronomique. Un menu dégustation à découvrir courant mai 2023 au sein du nouveau restaurant Onor du chef, ouvert début février rue du Faubourg Saint-Honoré dans le 8ème arrondissement parisien.

Pauline Duvieu