EN DIRECT- Présidentielle: Marine Le Pen dévoile son projet présidentiel dans un manifeste

La candidate socialiste à la présidentielle Anne Hidalgo a jugé ce samedi sur RMC que "les arguments économiques" de TotalEnergies pour ne pas quitter la Russie n'étaient "pas recevables”.

Anne Hidalgo promet de tout faire pour le groupe TotalEnergies se plie aux demandes de sortie de la Russie.

"Je demande à nouveau à Total de sortir de Russie et de comprendre et d'accepter - parce que ce n'est pas le rôle de Total de s'immiscer dans le débat politique -, d'accepter, ce qui fait consensus dans la communauté internationale puisque d'autres grands groupes y compris pétroliers en ont tiré les conséquences, de quitter la Russie", a-t-elle déclaré.

La candidate s'est à nouveau prononcée pour un embargo sur le gaz russe, comme le précise cet article.

La candidate, positive au Covid-19, a dû annuler son déplacement dans les Bouches-du-Rhône prévu ce samedi. Elle assure poursuivre sa campagne “à distance”. Valérie Pécresse prévoit, à la place, une réunion en visioconférence ce dimanche avec ses soutiens.

Le mouvement souhaitait réunir la gauche, finalement la Primaire populaire n’aura pas permis de soutenir un candidat qualifié. Après le départ de la co-fondatrice Mathilde Imer, cette fois, c’est Samuel Grzybowski qui annonce quitter la Primaire Populaire. Il souhaite désormais faire élire Jean-Luc Mélenchon.

“Aujourd’hui, j’ai changé d’avis. Je pense qu’on peut gagner sans rassemblement des partis. C’est possible avec l’Union populaire”, déclare-t-il à Libération.

Eric Zemmour cherche à raviver la flamme au Trocadéro, pour contrer une campagne qui patine.

Il tiendra son dernier grand meeting de campagne ce dimanche, à Paris. 40.000 personnes sont attendues ce dimanche pour soutenir leur candidat.

Une démonstration de force est attendue car la dynamique électorale semble s’être enrayée pour le candidat Reconquête! comme l'explique ce papier de BFMTV.

Un “projet présidentiel” de 36 pages publié en ligne par la candidate du Rassemblement National. Elle y expose ses propositions, déclinées dans trois thèmes: “la protection”, “la projection”, “la transmission”. Derrière ce triptyque, Marine Le Pen évoque ses idées en matière de sécurité, d’immigration et de pouvoir d’achat.

“Le projet que je présente est plus que jamais la voie raisonnable que je propose pour notre pays, pour assurer aux Français la protection légitime de la Nation et pour projeter notre pays dans un futur que nous espérons radieux”, écrit-elle dans l’avant-propos.

La candidate socialiste a été invitée à dévoiler sa première mesure, si elle remportait l’élection présidentielle.

Elle promet une augmentation immédiate “du point d'indice des fonctionnaires de 3% et une augmentation aussi des pensions de retraite de 3%", explique-t-elle sur France 2.

Autre augmentation prévue par Anne Hidalgo, celle du Smic. La candidate souhaite l’élever de 15% “c’est-à-dire 200 euros nets par mois”, détaille-t-elle. Des négociations avec le secteur privé seront ouvertes "branche par branche, pour augmenter les salaires”.

A deux semaines du premier tour, certains candidats tiennent des meetings ce samedi. Parmi eux, Anne Hidalgo et Fabien Roussel sont dans la même ville !

La candidate socialiste donne rendez-vous à ses soutiens à 15 heures, pour l’un de ses plus grands meetings de campagne. Le communiste de son côté, montera sur scène dès 13 heures, dans la ville rose.

De son côté, Marine Le Pen est à Pointe-à-Pitre. Elle restera moins de 24 heures en Guadeloupe. C’est son premier déplacement sur l’archipel comme candidate.

Comment Emmanuel Macron fait de l’Ukraine un argument de campagne. C’est le thème du nouvel épisode du podcast de BFMTV.

Mathieu Coache et Anne Saurat-Dubois ont suivi la succession de réunions internationales de crise à Bruxelles (OTAN, G7 + Conseil Européen) à deux semaines du premier tour de la présidentielle. Une autre manière pour le président-candidat de faire campagne, nous expliquent les deux journalistes.

La candidate, positive au Covid doit s’isoler plusieurs jours, à deux semaines du premier tour.

Son directeur de la communication était l’invité de France Info ce matin.

Il affirme que l’équipe de la candidate LR mise sur les quelques jours qui restent avec l’élection. “Ils vont compter double ou triple”, assure Geoffroy Didier.

Donnée 4è ou 5è dans les sondages, Valérie Pécresse ne se soucie pas de ses intentions de vote, à en croire son directeur de la communication.

"Zéro pour cent des Français se sont exprimés dans les urnes", défend-t-il. La candidate LR ne veut pas “se laisser dicter sa conduite par les sondages”. Ils ne ne sont “en rien la réalité du vote”, ajoute Geoffroy Didier

À la peine dans les sondages, la candidate PS pour l'élection présidentielle a expliqué que "la campagne n'a pas vraiment eu lieu".

"Il faut regarder dans quel état est la démocratie dans notre pays, nous n'avons pas pu exprimer nos convictions", souligne-t-elle

Néanmoins, la candidate à l'élection présidentielle ajoute que la chute libre de son parti politique au cours de ces dernières années est une conséquence de son faible pourcentage dans les sondages .

"Quand j'ai pris la décision de m'engager, j'étais consciente que le parti socialiste était rentré dans cette campagne de façon affaiblie", a-t-elle déclaré sur RMC.

Interrogée par un auditeur de RMC ce matin sur la question des retraites, la candidate PS a jugé la réforme défendue par Emmanuel Macron d’”injuste, indigne”.

Elle souhaite"réintroduire les critères de pénibilité” dans la réforme pour permettre à une partie des Français de partir plus tôt à la retraite, “y compris avant 60 ans”, précise Anne Hidalgo.

Quant à l’âge de départ, la candidate ne souhaite pas y toucher, estimant que le système de retraites français n’est pas menacé.

Invitée de la matinale de RMC, la candidate PS a évalué les réformes économiques du président sortant, et en particulier la réforme des retraites qu’il souhaite mener.

“Il y a une presque obsession d’Emmanuel Macron de faire peser sur les catégories populaires, sur les classes moyennes sur ceux qui ont trimé toute leur vie, l’essentiel de l’effort”, a affirmé Anne Hidalgo.

“D’ailleurs c’est essentiellement la droite qui le soutient et le rejoint”, a-t-elle ajouté.

Face aux lecteurs du journal Le Parisien, la candidate du Rassemblement National affirme qu’elle croit en ses chances de l’emporter le 24 avril prochain et désigne son adversaire potentiel du second tour.

“Emmanuel Macron est au pouvoir, il part avec un avantage évidemment. Mais je pense que je n’ai jamais été aussi près de la victoire qu’aujourd’hui.”

Interrogée sur son débat jugé raté de 2017, Marine Le Pen assure avoir “tiré les leçons”.

“J’ai commis en 2017 une erreur stratégique que je ne commettrai plus. Il y a cinq ans, j’avais en face de moi un jeune homme venu de nulle part. Je me suis dit qu’il fallait que j’explique aux Français quelle allait être sa politique et donc j’ai été agressive”, reconnaît-elle.

Pour le candidat à la présidentielle, “la campagne est volée aux Français”. Invité de BFMTV ce samedi matin, Nicolas Dupont-Aignan estime qu’”on ne parle de rien dans cette campagne.” Le candidat du parti Debout La France lance un appel aux électeurs.

“Il reste 15 jours [de campagne], je dis aux Français ‘réveillez-vous’. Vous avez tout entre les mains mais si vous réélisez Emmanuel Macron, vous souffrirez terriblement pendant 5 ans.”

Il nous invite à “comparer les programmes” et à “choisir une alternative”.