Le numérique en pleine recherche de compétences

[CONTENU PARTENAIRE] La transformation digitale des entreprises est devenue un enjeu encore plus important ces dernières années. Pour répondre à ces besoins, CGI multiplie les initiatives pour recruter largement, comme l’explique son Vice-Président Ressources Humaines, Benoit Froment.

Présentez-nous CGI et vos services ?

CGI est un leader mondial des services numériques. C’est une histoire entrepreneuriale avant tout : une entreprise d’origine québécoise, créée en 1976, qui compte aujourd’hui 84 000 personnes dans 40 pays à travers le monde, dont 20 000 dans les 7 pays de la zone Ouest et Sud de l’Europe.

Notre métier est d’accompagner nos clients dans leur transformation digitale, et notre spécificité est de les accompagner de bout en bout, tout au long de leur chaîne de valeur. Nous avons quatre métiers : nous proposons des services de conseil en management, en stratégie et en organisation, nous mettons en œuvre ces conseils avec des prestations d’intégration de systèmes informatiques, nous offrons également à nos clients la possibilité de gérer l’ensemble de leur domaine informatique, avec notre métier d’outsourcing et de gestion de services, et enfin nous développons également nos propres solutions logicielles.

En quoi le recrutement est un de vos enjeux majeurs actuellement ?

Pour tous les secteurs, la transformation digitale des entreprises s’est accélérée depuis deux ans, car la crise sanitaire a montré l’importance du numérique. Depuis mi-2021, notre secteur connaît une forte croissance. La hausse de la demande de nos clients fait que nous avons besoin de plus de compétences dans le conseil, l’informatique et le numérique. Cela représente plusieurs dizaines de milliers d’emplois non pourvus dans le numérique par manque de professionnels formés.

L’enjeu de toutes les entreprises du secteur, et la nôtre en particulier, est donc de pouvoir attirer et retenir les talents. Pour cela, nous avons depuis plusieurs années des partenariats avec des écoles cibles. Mais il faut aussi diversifier nos canaux de recrutement et les compétences que nous intégrons. Depuis 2017, nous avons notre propre école du numérique, U’DEV, une formation gratuite, rémunérée, diplômante et avec un CDI à la clé. Nous travaillons également avec Pôle Emploi et nous proposons des formations et emplois à des personnes en situation de handicap. Enfin, nous sommes une des entreprises de services numériques avec le plus fort taux d’apprentis, quasiment 6% de nos effectifs.

Comment les modes de travail doivent-ils s'adapter à l’ère post Covid ?

Ils se sont déjà adaptés. Au moment du Covid, en deux jours, nous avons mis 95% de nos équipes en télétravail. Nous avons un métier de prestation intellectuelle, et nos consultants travaillaient chez nos clients, donc le travail à distance était déjà dans nos modes d’organisation. Nous avons renouvelé notre accord télétravail en 2021 pour le compléter et formaliser les pratiques attendues par les collaborateurs. Nous ne croyons pas au télétravail à 100% car c’est quand nous travaillons en proximité que nous sommes plus efficaces, que nous prenons plus de plaisir à travailler ensemble et que nous préservons un bon équilibre vie pro-vie perso. Nous offrons donc de la flexibilité, avec la possibilité de travailler à distance de 1 à 3 jours par semaine pour nos collaborateurs qui le souhaitent.

Ce contenu a été réalisé avec SCRIBEO. La rédaction de BFMBUSINESS n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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